Bienvenue à vous !

Je commence tout juste à comprendre le truc un peu mieux. Alors comme sa, une personne est censé me trouver sur le net, non en tapant 2kif, ou Davigny Patrice.

Il est censé me trouver en tapant, « reconversion professionnelle », ou biographie.

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Sa fait toute la différence en effet. Il faudrait peut être que j’envisage sérieusement autant le fait de bien référencer mes étiquettes pour un processus naturel, que la micro pub. Le tout étant de chercher un procédé autant naturelle que possible, en cherchant, l’internaute qui me cherche justement, et non celui qui ne me cherche pas.

Houlala, plus je parle et plus j’ai l’impressionnant de m’entendre recracher mes cours Udemy sur l’inbound marketing, lol, comment être bio et marketing en même temps.

Le respect de l’autre et de son consentement, plutôt que le bourrage de crâne. Je réalise alors que tout les blogs que je voit sur le net, qui apparaissent des que je tape :reconversion professionnelle, me sont apparus sans la petite icône (Annonce) de google. Qui signifie, on apparait en haut car on paie pour cela, et non parce que les gens viennent nombreux sur notre page.

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J’ai donc du travail de mon coté. Je crois que je me situe de plus en plus mieux, au milieux de tout sa, non ? Quand je parle (j’écris) je crois que cela s’entend.

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Il parait qu’il faut quelques mois ou semaines avant de voir un résultat probant. Oook oui, je vois, l’écriture, la régularité, le référencement etc etc… Ok va pour moi, pour nous.

Evolution

Je me rend compte de la succession progressive que le procédé de transformation nécessite. Je n’aime pas parler du temps car pour moi il n’existe pas, nonobstant la société qui le pense. Alors j’emploie de nombreuses autres expressions à la place.

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Oui la succession d’action, l’assiduité du processus, la continuité, le continuum. Il en faudra de la longueur pour parvenir à un bon résultat acceptable. Dans un premier palier cela me stresse. Dans un second cela est formateur.

Dans un troisième, je me dis que puisque ma formation va prendre cursus et longueur avant de m’apparaitre efficiente, convaincant ou plutôt, auto-satisfaisante et auto-convaincante par les résultats que j’en tire. Tant mieux si le procédé d’un bon SEO prend lui aussi son aise pour s’installer, non ?

Les deux évolueront en même temps.

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Etonnement

Plus j’écris et plus sa vient, j’en ai déjà écris plus que je m’en sentirais capable à prime abord. Félicitation Patrice, sa rentre doucement mais tu voies bien que sa rentre. Et se n’est pas désagréable.

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Les minis courts express

Et le découragement quand il vient ?

Oui, la question du découragement.

Vous savez toutes ces petits voix avec des visages très familiers qui vous apparaissent à chaque point de départ d’une action concrète dans votre tête .

Ces visages vous semblent tellement familier que vous en oublier que parole ne signifie pas nécessairement personne ou individu.

C’est nous même qui parlons à nous même au fond, on le fait pour ces visages familiers, et on le fait pour nous depuis ces visages familier (se saborder).

Mais dans le fond sa reste bien nous qui parlons à nous même. Il n’existe pas de sur réalisme de la réalité.

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Sa parait toujours plus vrai qu’on se trompe, ou que l’on prend la mauvaise route , ou que l’on ne devrait pas tenter et rester dans le même processus du quotidien, quand c’est un visage familier qui prend forme pour nous, par visage et paroles. Mais c’est nous même qui parlons à nous même. Il est bon de comprendre ce processus, pour ne pas rentrer dans des discussions déjà super validés dans la tête de l’autre qui n’est en faite que super validé dans nous même.

On se casse, on se sabote, on s’auto invalide, on se tient en liesse, et on s’apporte le retour au confort quotidien que l’on souhaite justement quitter ,parce qu’il ne nous convient pas, mais tout d’un coup quand vient ces procédés de découragement, c’est ce même quotidien qui parait le confort idéale.

Ben quoi ? On va ou là ? Sinon nulle part justement, si on accepte cela.

Mais justement, le découragement vous l’à fait ,et vous prend à l’envers, vous faisant dire vous même, par vous même, que c’est essayer de bouger les choses qui ne mènent nulle part, il inverse tout autour de vous.

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On se calme, c’est nous même qui le disons, à quoi nous répondons que non, c’est en travaillant aux changement pour nous, que le changement vient, et surement pas :

En travaillant aux changement pour nous c’est ainsi que rien ne changera.

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Donc on y va, d’ailleurs le seul fait de tenir cette discussion est la preuve par quatre qu’on y est déjà au « On y va », on est déjà dans le procédé continuel, on le veut.

C’était Patrice Davigny 2kif.net